15.04.1995 : Eric HARDOUIN ; BCH - 6e RCS
Modérateur : Jean-François BRILLANT
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15.04.1995 : Eric HARDOUIN ; BCH - 6e RCS
Meurtre sur la « Sniper Alley »
Samedi 15 avril 1995, en fin de matinée, un soldat français a été abattu dans la capitale bosniaque. Il s’agit du deuxième assassinat d’un casque bleu français en vingt-quatre heures.
Le brigadier-chef Eric Hardoin a été tué le 15 avril 1995 en fin de matinée alors qu’il participait à l’installation de conteneurs le long de la grande avenue de Sarajevo connue sous le nom de « Sniper Alley » (l’avenue des tireurs embusqués). Les conteneurs devaient servir à protéger les passants des tirs provenant des immeubles et des collines avoisinants. Il s’agit du deuxième soldat français de la paix assassiné par un tireur isolé en vingt-quatre heures, après la mort, vendredi, du sergent Ralf Gunther, abattu dans le faubourg de Dobrinja.
Eric Hardoin, qui venait de fêter ses trente ans, était marié et père de deux fillettes. Originaire de Nîmes (Gard), appelé pour effectuer son service militaire à dix-neuf ans, il avait décidé de rester dans l’armée et avait notamment servi au sein de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) en 1988 et 1989, en Arabie Saoudite et en Irak durant la guerre du Golfe en 1990-1991, puis, une première fois, à Sarajevo de juin à décembre 1993 et deux fois en République centrafricaine (1986-1988 et 1992-1993). Affecté au 6e RCS (régiment de commandement et de soutien), basé à Nîmes, il avait été décoré de la Croix de la valeur militaire, le 2 octobre 1993, pour avoir participé, dans des conditions très dangereuses, à l’installation de conteneurs le long de la même avenue où il a été abattu samedi.
Il venait de fêter ses trente ans.
C’est ce même travail qu’Eric Hardoin effectuait samedi matin. A 11 h 25, une première balle a traversé le pare-brise de la cabine de l’engin de levage qu’il pilotait et a fait voler en éclats la vitre arrière. Sautant du véhicule pour se mettre à couvert, Eric Hardoin a été fauché par une deuxième balle qui l’a atteint sous son gilet pare-balles et a traversé la cage thoracique en diagonale, de bas en haut. Il est décédé vingt-cinq minutes plus tard.
Le ministre français de la Défense, François Léotard, et le chef d’état-major des armées, l’amiral Jacques Lanxade, ont assisté, dimanche matin à Sarajevo, à la levée du corps du casque bleu. A Paris, le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, a appelé samedi, « les instances concernées, en particulier dans le cadre des Nations Unies, à prendre sans délai les mesures qui s’imposent pour punir les responsables de cet odieux assassinat et dissuader ceux qui chercheraient encore à s’en prendre à la FORPRONU ». Rappelant que la France avait déjà saisi vendredi l’ONU, le ministre a ajouté que ce deuxième meurtre « souligne l’urgence que les consultations engagées (à l’ONU) débouchent sur des mesures concrètes et d’effet immédiat ».
A quelle faction appartenaient les deux tireurs ? Les conditions d’enquête sont très difficiles compte tenu notamment de la perfection des armes de précision qui ont été utilisées. Selon le colonel Gary Coward, principal porte-parole du général Rupert Smith, commandant de la FORPRONU en Bosnie, les soupçons se portent davantage sur les Bosniaques que sur les Serbes pour le tir qui a tué le premier casque bleu vendredi matin. Gary Coward a néanmoins souligné que, dans l’état actuel de l’enquête, la FORPRONU était « incapable d’attribuer la responsabilité » du tir qui a tué le sergent Ralf Gunther. Dans le cas du casque bleu tué samedi matin, les balles sont venues d’un bloc d’immeubles où les positions serbes et bosniaques sont très imbriquées. La ligne de confrontation passe même plus ou moins au milieu de l’un de ces bâtiments, baptisé « Red Building » par la FORPRONU. Selon d’autres sources militaires françaises qui ont tenu à garder l’anonymat, il est, en revanche, presque certain qu’il s’agissait d’un milicien serbe. Les troupes serbes, soulignent-ils, ont actuellement « intérêt » à une relance de la guerre, ayant perdu d’importantes positions ces derniers temps autour de Sarajevo.
Une enquête très difficile
« A partir du moment où des soldats sont en train de protéger une population et qu’ils semblent quelquefois être victimes de miliciens ou de militaires issus de cette même population, on est dans une situation absurde et il conviendra, le moment venu, de prendre des décisions si cette situation devait durer », a déclaré samedi François Léotard. Au stade où en était l’enquête samedi soir, il n’était « pas totalement possible de déterminer, de façon objective et précise, les origines de ces tirs », a-t-il ajouté.
Samedi 15 avril 1995, en fin de matinée, un soldat français a été abattu dans la capitale bosniaque. Il s’agit du deuxième assassinat d’un casque bleu français en vingt-quatre heures.
Le brigadier-chef Eric Hardoin a été tué le 15 avril 1995 en fin de matinée alors qu’il participait à l’installation de conteneurs le long de la grande avenue de Sarajevo connue sous le nom de « Sniper Alley » (l’avenue des tireurs embusqués). Les conteneurs devaient servir à protéger les passants des tirs provenant des immeubles et des collines avoisinants. Il s’agit du deuxième soldat français de la paix assassiné par un tireur isolé en vingt-quatre heures, après la mort, vendredi, du sergent Ralf Gunther, abattu dans le faubourg de Dobrinja.
Eric Hardoin, qui venait de fêter ses trente ans, était marié et père de deux fillettes. Originaire de Nîmes (Gard), appelé pour effectuer son service militaire à dix-neuf ans, il avait décidé de rester dans l’armée et avait notamment servi au sein de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL) en 1988 et 1989, en Arabie Saoudite et en Irak durant la guerre du Golfe en 1990-1991, puis, une première fois, à Sarajevo de juin à décembre 1993 et deux fois en République centrafricaine (1986-1988 et 1992-1993). Affecté au 6e RCS (régiment de commandement et de soutien), basé à Nîmes, il avait été décoré de la Croix de la valeur militaire, le 2 octobre 1993, pour avoir participé, dans des conditions très dangereuses, à l’installation de conteneurs le long de la même avenue où il a été abattu samedi.
Il venait de fêter ses trente ans.
C’est ce même travail qu’Eric Hardoin effectuait samedi matin. A 11 h 25, une première balle a traversé le pare-brise de la cabine de l’engin de levage qu’il pilotait et a fait voler en éclats la vitre arrière. Sautant du véhicule pour se mettre à couvert, Eric Hardoin a été fauché par une deuxième balle qui l’a atteint sous son gilet pare-balles et a traversé la cage thoracique en diagonale, de bas en haut. Il est décédé vingt-cinq minutes plus tard.
Le ministre français de la Défense, François Léotard, et le chef d’état-major des armées, l’amiral Jacques Lanxade, ont assisté, dimanche matin à Sarajevo, à la levée du corps du casque bleu. A Paris, le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, a appelé samedi, « les instances concernées, en particulier dans le cadre des Nations Unies, à prendre sans délai les mesures qui s’imposent pour punir les responsables de cet odieux assassinat et dissuader ceux qui chercheraient encore à s’en prendre à la FORPRONU ». Rappelant que la France avait déjà saisi vendredi l’ONU, le ministre a ajouté que ce deuxième meurtre « souligne l’urgence que les consultations engagées (à l’ONU) débouchent sur des mesures concrètes et d’effet immédiat ».
A quelle faction appartenaient les deux tireurs ? Les conditions d’enquête sont très difficiles compte tenu notamment de la perfection des armes de précision qui ont été utilisées. Selon le colonel Gary Coward, principal porte-parole du général Rupert Smith, commandant de la FORPRONU en Bosnie, les soupçons se portent davantage sur les Bosniaques que sur les Serbes pour le tir qui a tué le premier casque bleu vendredi matin. Gary Coward a néanmoins souligné que, dans l’état actuel de l’enquête, la FORPRONU était « incapable d’attribuer la responsabilité » du tir qui a tué le sergent Ralf Gunther. Dans le cas du casque bleu tué samedi matin, les balles sont venues d’un bloc d’immeubles où les positions serbes et bosniaques sont très imbriquées. La ligne de confrontation passe même plus ou moins au milieu de l’un de ces bâtiments, baptisé « Red Building » par la FORPRONU. Selon d’autres sources militaires françaises qui ont tenu à garder l’anonymat, il est, en revanche, presque certain qu’il s’agissait d’un milicien serbe. Les troupes serbes, soulignent-ils, ont actuellement « intérêt » à une relance de la guerre, ayant perdu d’importantes positions ces derniers temps autour de Sarajevo.
Une enquête très difficile
« A partir du moment où des soldats sont en train de protéger une population et qu’ils semblent quelquefois être victimes de miliciens ou de militaires issus de cette même population, on est dans une situation absurde et il conviendra, le moment venu, de prendre des décisions si cette situation devait durer », a déclaré samedi François Léotard. Au stade où en était l’enquête samedi soir, il n’était « pas totalement possible de déterminer, de façon objective et précise, les origines de ces tirs », a-t-il ajouté.
TRADIDIT MUNDUM DISPUTATIONIBUS EORUM
- Jean-François BRILLANT
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Re: 15.04.1995 : Eric HARDOUIN ; BCH - 6e RCS
France 2 a rendu publiques les images de la mort d'Eric HARDOUIN :
http://ma-tvideo.france2.fr/video/iLyROoaftuzc.html
AUX MORTS !
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S + KOH : Souffre et Potasse !
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Re: 15.04.1995 : Eric HARDOUIN ; BCH - 6e RCS
cette vidéo vue et revue, notamment au GMC de Mostar...
la mort en direct.
Après, certains se posent encore la question de savoir pourquoi la France s'engage au service de.............. la PAIX...
aviat
la mort en direct.
Après, certains se posent encore la question de savoir pourquoi la France s'engage au service de.............. la PAIX...
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"l'ISTC est à la méthode MONTAUBAN ce que le Kamasoutra est à la position du missionnaire"
"On ne se marie pas avec Marianne pour la décevoir"
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Re: 15.04.1995 : Eric HARDOUIN ; BCH - 6e RCS
"Le soldat n'est pas homme de violence. Il porte les armes et risque sa vie pour des fautes qui ne sont pas les siennes.
Son mérite est d'aller sans faillir au bout de sa parole, tout en sachant qu'il est voué à l'oubli"
SAINT EXUPERY
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- Yannis.B
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Re: 15.04.1995 : Eric HARDOUIN ; BCH - 6e RCS
"Pour réussir, il ne suffit pas de prévoir. Il faut aussi savoir improviser." ©Isaac Asimov
-
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- Inscription : ven. 3 févr. 2012 17:54
Re: 15.04.1995 : Eric HARDOUIN ; BCH - 6e RCS
je me permets de déterrer le topic
la promotion actuelle du cfim de la 1ère BL ET la fmir en cours au 503°RT porte pour nom de baptême BCH HARDOUIN
la promotion actuelle du cfim de la 1ère BL ET la fmir en cours au 503°RT porte pour nom de baptême BCH HARDOUIN
Vous ne pouvez pas consulter les fichiers insérés à ce message.
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Nul combat ne peut-être gagné si tu as pitié de l'ennemi
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Re: 15.04.1995 : Eric HARDOUIN ; BCH - 6e RCS
ainsi que les deux FMIR 2014 du 121°RT, celle passée et celle qui va commencer à la fin de la semaine, qui portent le nom de ce Brigadier-chef.
De plus, afin de leur faire mieux connaître le parcours de cet illustre parrain, projection du reportage complet "Moi, Eric, mort à Sarajevo" à chacune des FMIR.
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- Inscription : mer. 9 juil. 2008 10:48
Re: 15.04.1995 : Eric HARDOUIN ; BCH - 6e RCS
A quelle faction appartenaient les deux tireurs ? Les conditions d’enquête sont très difficiles compte tenu notamment de la perfection des armes de précision qui ont été utilisées. Selon le colonel Gary Coward, principal porte-parole du général Rupert Smith, commandant de la FORPRONU en Bosnie, les soupçons se portent davantage sur les Bosniaques que sur les Serbes pour le tir qui a tué le premier casque bleu vendredi matin. Gary Coward a néanmoins souligné que, dans l’état actuel de l’enquête, la FORPRONU était « incapable d’attribuer la responsabilité » du tir qui a tué le sergent Ralf Gunther. Dans le cas du casque bleu tué samedi matin, les balles sont venues d’un bloc d’immeubles où les positions serbes et bosniaques sont très imbriquées. La ligne de confrontation passe même plus ou moins au milieu de l’un de ces bâtiments, baptisé « Red Building » par la FORPRONU. Selon d’autres sources militaires françaises qui ont tenu à garder l’anonymat, il est, en revanche, presque certain qu’il s’agissait d’un milicien serbe. Les troupes serbes, soulignent-ils, ont actuellement « intérêt » à une relance de la guerre, ayant perdu d’importantes positions ces derniers temps autour de Sarajevo
Pour avoir servi à Sarajevo à cette époque le texte ci dessus me rappelle que souvent les tirs provenant des lignes bosno-serbes (oui il y avait des lignes et un vrai front) étaient identifiés alors que ceux en provenance des lignes bosno-musulmanes étaient souvent dues à (je cite) des tireurs "non identifiés". Je me souviens aussi d'un certain BHL qui commençait une carrière de boutefeu.
ps: contrairement à ce que l'on écrit souvent cette guerre n'opposait pas les Serbes et les Bosniaques mais les bosno-serbes (qui étaient bien sur soutenus par Belgrade ) et les bosno-musulmans (qui étaient soutenus par????????).Comme au Kosovo quelques années plus tard (et comme dans toutes les guerres) des massacres ont été commis des deux côtés et certains "gentils" se sont révélé être aussi pourris que les "méchants".
Pour avoir servi à Sarajevo à cette époque le texte ci dessus me rappelle que souvent les tirs provenant des lignes bosno-serbes (oui il y avait des lignes et un vrai front) étaient identifiés alors que ceux en provenance des lignes bosno-musulmanes étaient souvent dues à (je cite) des tireurs "non identifiés". Je me souviens aussi d'un certain BHL qui commençait une carrière de boutefeu.
ps: contrairement à ce que l'on écrit souvent cette guerre n'opposait pas les Serbes et les Bosniaques mais les bosno-serbes (qui étaient bien sur soutenus par Belgrade ) et les bosno-musulmans (qui étaient soutenus par????????).Comme au Kosovo quelques années plus tard (et comme dans toutes les guerres) des massacres ont été commis des deux côtés et certains "gentils" se sont révélé être aussi pourris que les "méchants".
Dans le doute, pas de doute,vide ton chargeur.......
- pmo
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- Inscription : jeu. 26 juin 2008 20:16
Re: 15.04.1995 : Eric HARDOUIN ; BCH - 6e RCS
Qui soutient les bosno-musulmans" :
L'argent vient du Golfe Persique et de Turquie, les armes d'Iran, et les États-Unis laissent faire...
Les volontaires islamistes , non contrôlées par l'Armée de la République de Bosnie-Herzégovine, offrent des camps d'entraînement aux moudjahidines du monde entier....
Oussama Ben Laden, finance lui aussi l'armement des moudjahidines de Bosnie et séjourne en Bosnie entre 1993 et 1996.
Selon l'ONU :La Fondation islamique Al-Haramain en Bosnie-Herzégovine a été inscrite sur la liste des sanctions contre Al-Qaida le 13 mars 2002, en application des dispositions des paragraphes 1 et 2 de la résolution 1390 (2002), comme associée à Al-Qaida, à Oussama ben Laden ou aux Taliban en raison de sa participation au financement, à l'organisation, à la facilitation, à la préparation ou à l'exécution d'actes ou d'activités en association avec l'organisation Al-Qaida, sous son nom, pour son compte ou pour la soutenir.
Nos amis ?
Ou les amis du gang de Roubaix ?
L'argent vient du Golfe Persique et de Turquie, les armes d'Iran, et les États-Unis laissent faire...
Les volontaires islamistes , non contrôlées par l'Armée de la République de Bosnie-Herzégovine, offrent des camps d'entraînement aux moudjahidines du monde entier....
Oussama Ben Laden, finance lui aussi l'armement des moudjahidines de Bosnie et séjourne en Bosnie entre 1993 et 1996.
Selon l'ONU :La Fondation islamique Al-Haramain en Bosnie-Herzégovine a été inscrite sur la liste des sanctions contre Al-Qaida le 13 mars 2002, en application des dispositions des paragraphes 1 et 2 de la résolution 1390 (2002), comme associée à Al-Qaida, à Oussama ben Laden ou aux Taliban en raison de sa participation au financement, à l'organisation, à la facilitation, à la préparation ou à l'exécution d'actes ou d'activités en association avec l'organisation Al-Qaida, sous son nom, pour son compte ou pour la soutenir.
Nos amis ?
Ou les amis du gang de Roubaix ?
"La guerre c'est comme la chasse. Mais, à la guerre, le lapin tire." (Charles De Gaulle)
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